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 <<Tu dois payer le teinturier !>> {Aaron

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2 participants
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Arizona L. Borocof

Arizona L. Borocof


Nombre de messages : 21
Créditez : (c) bubble
Date d'inscription : 18/01/2009

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MessageSujet: <<Tu dois payer le teinturier !>> {Aaron   <<Tu dois payer le teinturier !>> {Aaron EmptyMer 21 Jan - 18:58


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      Arizona ,d’un pas sûr et la tête baissé, se dirigeait vers son nouveau lycée, elle connaissait déjà quelques personnes mais pas encore grand monde. Pour elle c’était déjà énorme de connaitre autant de monde en si peut de temps, pour d’autre cela signifiait qu’il n’était pas aimé. Elle était dans sa voiture que lui avait acheté sa mère en arrivant dans cette petite ville, elle ne lui avait point acheté pour lui faire plaisir mais pour ne pas avoir à emmener la jeune rousse chez quelqu'un‘un si cela était trop loin. Quoi qu’il en soit Arizona aimait bien sa nouvelle voiture, si on peut appeler ça une nouvelle voiture, car elle avait au moins vingt bonnes années mais avait tout de même l’air de tenir le coup. D’un geste rapide, elle démarra sa vieille caisse et partit enfin. Elle était en avance mais ne voulant pas rester un instant de plus avec sa mère elle partit dés qu’elle fut prête. En partant elle savait déjà son objectif de la journée, parler à Aaron Parker, celui qui avait renversé sa bière sur la jeune femme. Bien évidemment il lui devait bien un petit quelque chose, mais cela il ne le savait pas encore. Il devait déjà avoir oublié Arizona qui ne se démarquait jamais mais était plutôt timide et était surement devenue rouge comme un pivoine quand ceci c’était produit. Arrivée au bahut et n’ayant pas de cours à relire avant de sortir de son automobile, elle prit son journal intime pour écrire ses pensés mais tomba sur ses pensés de la journée où elle avait rencontré ce fameux Aaron, juste avant qu’elle ne reçoive la bière sur son adorable chemisier blanc mais aussi après quand elle fut arrivée chez elle.

      19 janvier

      J’avais raison, les gens sont partout pareil. Ils ne regardent pas à l’intérieur des gens, j’en suis vraiment sur. Personne ne vient me parler et la colère règne en toujours et encore dans mon cœur. Je suis d’accord qu’ils ne peuvent point deviner ma tristesse mais j’aurais tellement voulu savoir pourquoi je n’attire pas les gens. Les gens ici ont l’air aussi distant que les autres envers moi, mais peut-être que je me fais des films comme souvent. Bref, je ne vois pas quoi pensé de plus mais rien ne me plait ici. Je ne crois pas que cette vie va être facile. J’attends toujours une rencontre …

      Ce qu’écrivait Arizona signifiait beaucoup de chose pour elle, elle seule comprenait le moindre des mots qu’elle y inscrivait. Elle ressentait les moindres sentiments qu’elle voulait montrer par ces textes ou plutôt par son journal. Elle tourna la page et découvrit ce qu’elle avait écrit mais après sa rencontre avec Aaron. Elle les relit et revivait ces moments dans sa tête.

      19 janvier, enfin une rencontre …

      Il n’est pas si méchant, pas tant qu’il en à l’air. Il cache quelque chose, c’est obligatoire. Il ne peut avoir l’air si terrifiant et être aussi froid. Dans sa tête se passe surement autant de chose que dans la mienne. Je suis toujours morte de honte, qui pourrait supporter d’être comme moi franchement ?! Je ressens une sorte de mélancolie et de tristesse mais aussi d’une curiosité dont que je n’avais ressentis. Cette personne m’intrigue, incroyablement. Je le rencontrerais surement plus tard et je suis vraiment pressée. Je lui parlerais d’un moyen ou d’un autre, je me le promets ! Sa colère envers moi ma plut, bizarre ou même très étrange mais tout est possible avec moi.

      D’une main douce et fragile, elle caressa la page qu’elle venait de lire, non pas parce qu’elle était amoureuse du jeune homme mais parce que c’était une des premières personnes qui lui avaient parlé, en faites il ne lui avait pas vraiment parlé mais plutôt égueuler même si ce n’était pas de la faute d’Arizona mais de la sienne. Ayant encore le temps elle prit son magnifique stylo et de sa belle écriture écrit ce qu’elle ressentait.

      21 janvier, vais-je le rencontrer ?

      Je dois le rencontrer, c’est un besoin qui me démange. Je suis stressée à l’idée de lui parler mais il le faut, je ne supporterais pas un moment de plus de rester ainsi dans ma mélancolie la plus profonde. Je dois y aller, j’espère qu’il ne m’enverra pas encore bouler, de toute façon je ne me laisserais pas faire, …

      Arizona ferma son cahier et le rangea dans son sac de cours, elle sortit de sa voiture d’un geste élégant et partit en direction de l’enceinte. Un jeune homme ressemblant énormément à Aaron se trouvait devant elle. D’un pas délicat elle partit dans se direction pour réclamer la note du teinturier. Se serait une bonne idée pour l’aborder si on peut appeler cela comme ça. Il était toujours aussi distant et paraissait encore plus froid que la dernière fois. Ses yeux la transperçait et la dévisageait comme un vulgaire mouchoir en papier. La jeune fille rougit, d’un rouge tellement vif qu’on aurait pu ne pas faire la différence entre ses joues et deux petites tomates. Ne sachant comment commencer la conversation elle lui adressa un sourire timide et passa sa main dans ses cheveux roux. Arizona prit une grande respiration et regarda le jeune homme dans les yeux.

      « Bonjour, tu me dois la note du teinturier. Dit elle d’une voie innocente. Je ne veux pas que tu le prenne mal, et s’il te plait ne te fâche pas. »


      Les yeux de la jeune femme était noyée de larmes, des larmes de bonheur bizarrement, elle était tellement contente d’avoir osé parler à quelqu’un. Pour elle c’était presque un exploit. D’un geste lent elle les essuya et se contenta d’un sourire gêné en attendant la réponse du jeune homme.

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Aaron J. Parker
MODOINCAPABLE; ça va les chevilles?
Aaron J. Parker


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Créditez : (c)Caldoch
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<<Tu dois payer le teinturier !>> {Aaron Empty
MessageSujet: Re: <<Tu dois payer le teinturier !>> {Aaron   <<Tu dois payer le teinturier !>> {Aaron EmptyMer 21 Jan - 23:19

    Aaron venait de passer une nuit entière sous les étoiles du pays froid et enneigé. Effectivement, vous pourriez me faire la remarque " mais il est logé à l'hotel! ". Oui, c'est vrai, il l'est mais est-ce vraiment necessaire de s'ennuiyer seul enfermé dans une pièce close et sombre alors que l'on peut très bien s'ennuiyer avec les cris étranges d'animaux volant et des pas inquiétant de personnes invisible ainsi qu'avec les crissement des branches et des feuilles foulant le sol nappé d'une couche épaisse, blanche et froide. De plus, les vampires ne sont pas des êtres qui dorment, ou du moins ils peuvent être dans un semi sommeil, juste les yeux fermer à attendre que le soleil ne daigne enfin se lever. Le froid, me dites vous? Croyez le ou non, cet homme n'est pas superman. Son corps se crystalise autant que le votre, il s'engourdit, se paralyse tout autant rassurez-vous, les vampires sont peut-être des sur-hommes mais il y a des limites, cependant il est vrai qu'il ne doit pas souffrir autant qu'il n'en souffrait il y a un siècle, son sang est glacé, après tout c'est presque un mort, alors le froid, il s'y est habitué.

    Aaron avait airé toute la nuit à travers la ville, il s'est arrêté dans chaque endroits auxquels il s'était aussi arrêté cent ans auparavant. Oui, c'était ici que tout avait commencé pour lui, pour Elisabeth, son Elisabeth. Ils avaient promis retourner au moins une fois par siècle dans ce village, malheureusement Eli' ne pourra plus faire ce voyage, elle a choisit contre son grès de faire un autre type de voyage, une aventure aussi irréversible que celle de devenir vampire. Il se souvient encore de la mare de sang qui avait fait rougir la neige lorsqu'elle le mordit. Le sang s'était étendu sur un cercle faisant au moins sa taille. Il était résté deux heures entre la vie et la mort, avant de faire une sorte de réssussitation, comme un retour à la vie même si vous savez que vous êtes à présent à moitié mort pour toujours.

    Lorsque le soleil se leva enfin, Aaron se situait encore dans la forêt, venant fraichement de se nourrir d'un lapin. Il est vrai qu'il préférait la chair humaine mais vos mieux ne pas trop de créer de disparition dès son arrivé, il été déjà supposé que les autres s'en était chargé. Trop de disparitions sussiteraient de nombreuses questions, des soupçons et cela ramènerait la pire espèce de vermine au monde, les journalistes. La presse à scandale, Aaron en avait un dégout profond. Tous ces photographes et ces caméramans avec leur micros ne cherchant qu'à dévoiler au monde entier les horreurs qui se trâment sur leur planèt. Ces mêlent tous profitant du malheur des gens pour gagner leur vie. Ces chaquals qui se battent pour avoir le meilleur article qui figurera en première page des journeaux et qui les feront gravir les échelons de la haute société. Vraiment pathétique, rien que d'y penser cela m'était en rogne le jeune homme. Enfin, de toute manière pratiquement tout l'irrite. Tout le gêne, tout le dérange. Insatisfait? C'est le therme que l'on pourrait lui attribué parmis tant d'autres moins agréable à entendre. Les qualifications que l'on donnait pour décrire le grand brun d'un mètre quatre-vingt étaient toujours les mêmes, cruel, froid, distant, menaçant, dangereux. Il est vrai qu'il ne se plaignait pas de l'image qu'il pouvait donné, ainsi il pouvait rester tranquille entre lui et lui. Pourtant, il reste une part de son caractère d'avant, qu'il réserve aux plus intimes... Et ce qui est certain c'est qu'il n'y en a pas un grand nombre. C'est incroyable mais c'est la triste véritée me diriez-vous, il récolte ce qu'il à semé.

    A l'heure où tout les jeunes en fin d'adolescence sortent de chez eux pour atteindre leur lieux de rendez-vous, bien qu'il ne soit pas, pour la plus part, heureux de s'y rejoindre, c'est Aaron qui se mêla à la foule d'étudiant. Il avait prit le chemin pour se rendre à sa chambre d'hotel. Mais il fut stoppé par une jeune femme n'atteignant pas encore la vingtaine. Il avait mit ses mains dans ses poches et roula des yeux déjà en position de désinvolture face à la demoiselle rousse. Il l'avait rencontré la veille, dans un des bars du village. Aaron s'était retourné violament avec un verre de bière à la main tandis que la jeune fille tentait de se frayer un chemin vers les toilettes au fond de la salle. Leur altercation se termina avec le verre de bière vidé sur le chemise blanche éclatante de la petite rousse. Aaron savait qu'il était en tort mais il lui repprocha tout de même d'avoir trainé dans ses pattes. Que ce n'était pas parcequ'elle se faisait discrète qu'elle pouvait dérangé ainsi les gens. Il lui cria, non, hurla des tas de choses dont lui même avait oublié le sens. Lorsqu'il est en colère, Aaron ne s'entend plus parler, il ne se contrôle plus.

    « Bonjour, tu me dois la note du teinturier. Je ne veux pas que tu le prenne mal, et s’il te plait ne te fâche pas. »
    « Encore toi? C'est une manie chez toi de suivre les gens ou tu fais ça parceque tu n'a rien d'autre à faire?! Bon, combien pour que mon péchêr soit pardonné?. »

    Il avait haussé le ton dans ses deux premières phrases avant de reprendre son calme dans la dernière. Il n'avait pas envie de se faire remarqué ici. Au milieu de tout ce monde, et la pauvre, il n'allait pas l'humilier devant toute cette foule. Elle semblait si perdu, si abandonné... Il aurait presque compatit s'il n'était pas ce qu'il est devenu aujourd'hui.
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<<Tu dois payer le teinturier !>> {Aaron
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